
«Наполи» и Гаттузо договорились о продлении контракта до 2023 года
FootBoom, 01 ноября 2020 в 16:14

Il y a toujours eu quelque chose de particulier dans les relations entre les deux États voisins, ce qui permet d'élargir les points de contact et de réaliser des progrès communs. Les efforts des deux pays pour renforcer leurs liens sont maintenant entrés dans une nouvelle phase. La coopération bilatérale s'intensifie, notamment dans des domaines tels que la politique, l'économie, la coopération régionale et frontalière.
Les conclusions de la deuxième réunion consultative des chefs d'État d'Asie Centrale, qui s'est tenue le 29 novembre à Tachkent, peuvent véritablement être considérées comme une victoire pour l’approche du Kazakhstan en matière de coopération régionale. Preuve en est l'élection de Noursoultan Nazarbaïev comme Président d’Honneur du forum.
Plus important encore, l’alignement unanime de tous les États d'Asie Centrale sur un large éventail de questions — sécurité, commerce, infrastructures de transport, écologie, culture et éducation – autour des grandes lignes de la coopération régionale.
La politique étrangère du Kazakhstan a toujours eu pour objectif de créer des conditions extérieures favorables à un développement socio-économique durable du pays. Ses priorités ont toujours été le développement de la coopération économique avec les pays voisins, la diversification de ses exportations, l'attraction des investissements étrangers et l'ouverture de nouveaux marchés pour les marchandises kazakhes.
Qu'a montré la dernière année? Dans quelle mesure le premier président est-il actuellement impliqué dans la vie sociale et politique active du Kazakhstan?
Il y a eu une certaine évolution des relations. Pourtant, au Kazakhstan, un tel modèle — la présence de deux présidents — n'a pas été appliqué, et certaines questions, même en tenant compte de l'expérience et de la diplomatie des deux présidents, ont été réglées à la volée.
À un moment donné, Henry Kissinger a posé la question: «Qui dois-je appeler pour parler à l'Europe?» L'absence de réponse à cette question indique l'absence de centre de décision dans l'Union européenne.
Si aujourd'hui quelqu'un pose la même question sur l'Asie centrale, il ne recevra pas non plus de réponse. Il n'y a personne pour parler au nom de la région aujourd'hui.
L'escalade du conflit politique entre Washington et Pékin sur les activités des laboratoires biologiques militaires se poursuit. Les reproches mutuels dans la création d'une souche Covid-19 modifiée dans les médias ne s'arrêtent pas maintenant une minute, et un représentant du ministère des Affaires étrangères de la RPC a même fait dimanche dernier une nouvelle déclaration officielle en réponse à l'attaque de Donald Trump selon laquelle l'infection s'est propagée dans le monde entier en raison de «l'incompétence quelques imbéciles en Chine. » Le Kazakhstan dans cette situation se trouve au centre de cette confrontation en raison de la présence des laboratoires biologiques militaires du Pentagone.
L'Afghanistan est depuis plusieurs années l’épine dorsale de la politique internationale. Il n'existe aucun autre pays autour duquel est construit un système aussi développé de dialogues mondiaux, régionaux, à deux, trois et quatre parties. Des dizaines de personnes brillantes dans le monde entier travaillent sur les moyens de résoudre la «question afghane», et des thèses sont défendues. Des monographies entières sur des sujets traitant de l’Afghanistan remplissent les bibliothèques.
Winston Churchill a dit un jour : « Les Généraux se préparent toujours pour la dernière guerre ». Et Martin White son compatriote et politologue d’ajouter : « Et les organisations internationales ont toujours été créées pour tirer des leçons de la guerre précédente ». Il est probable que le système international commence à se préparer bientôt pour éviter une future pandémie comme celle du coronavirus. Et le vaccin pour le COVID-19 fera sans doute son apparition quand le virus aura muté pour ne devenir qu’une infection respiratoire saisonnière.
Aujourd’hui, l’ancienne idéologie, vivement discutée par l’opinion publique il y a une quinzaine d’années, fait quasiment partie du passé. Il s’agit d’autoritarisme éclairé, qui a été mentionné pour la première fois, autant que je me souvienne, par l’homme et analyste politique français Alex Moskovich, le conseiller extérieur de Nursultan Nazarbaïev. A cette époque, la critique condamnait l’autoritarisme, mais la deuxième partie de l’équation, indispensable à sa compréhension, fut écartée du débat.
L'anniversaire de Noursoultan Nazarbaïev est l’occasion de se rappeler pourquoi il a dirigé avec succès le pays pendant trois décennies. Le Kazakhstan est l'un des rares États post-soviétiques à avoir échappé aux conflits interethniques, aux confrontations militaires, aux crises sociales, et Nazarbaïev est l'un des rares hommes politiques à ne pas avoir trouvé d’alternative crédible durant toute la durée de sa présidence.
Aujourd'hui, s’il s’agit de faire le bilan de ce qui a été accompli, il est très facile de parler de ce qui aurait pu être mieux fait et comment. Les jeunes qui ont grandi au cours de ces dernières décennies adoptent souvent une position extrême lorsqu'ils évoquent les actions de Noursoultan Nazarbaïev.